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Cours de Botanique, Cours d'Ecologie Végétale, Sorties Botaniques avec l'association OIKOS ACMV

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 Notre voyage dans les Grands Causses se termine par une herborisation sur le Causse Rouge, au Puech de l’Oule. 

Nous y trouvons de Epipactis en bouton, des Stipa pennata, du Teucrium rouyanum, des Iberis pinnata , un tapis Himantoglossum hircinum et quelques orchidées.  

Les nombreux Ophrys lutea étaient déjà fanés.

L’heure la séparation arrive.

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Nous partons pour le plateau de Guilhaumard célèbre pour sa richesse en orchidées.

Nous herborisons sur trois sites différents. 

Nous débutons le long d’une petite route en direction Des Rives depuis Lapezade. Le site est fourni en Anthericum liliago et en Iberis pinnata. Une belle touffe de Cyanus montanus s’offre à nous juste au carrefour.

Nous nous dirigeons ensuite vers un plateau entre Lapezade et Canals. Les orchidées sont hélas un peu fanées mais nous trouvons tout de même notre bonheur et avons la grande chance de découvrir l’Ophrys aveyronensis.

Nous terminons la journée un peu plus loin. Nous observons un magnifique plant de Daphné alpina bien fleuri  et quelques plants d’Armeria girardii aux feuilles très fines.

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Aujourd’hui nous herborisons sur le plateau du Larzac, réputé riche en messicoles. Les jachères de l’année dernière étaient là aussi cultivées cette année.

Nous avons débuté dans une prairie particulièrement riche en Orchis anthropophora et avons eu la chance de retrouver des Adonis flammea et des Salvia aethiopis.

La lavogne de Brunas nous a offert un espace ombragé bien venu pour notre pique-nique.

Nous nous sommes ensuite rendus tout près de l’aire d’envol pour parapentistes de Brunas pour admirer une fois de plus le viaduc de Millau. Nous étions dans des champs d’Aphyllanthes monspeliensis.

Nous n’avons hélas pas pu approcher le beau plan d’Hormathophylla macrocarpa accroché à la falaise sous le mirador.

La journée s’est terminée par une visite guidée de l’imposante cité templière de la Couvertoirade.
 

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Nous cheminons le long des gorges de la Dourbie pour nous rendre au Chaos de Nîmes le Vieux. Les reliefs dolomitiques y sont nettement moins spectaculaires qu’à Montpellier le Vieux. Mais ce lieu est un paradis pour les botanistes.

Nous trouvons très vite la Pulsatilla vulgaris var. serotina, le Pedicularis comosa, le Kernera saxatilis et surtout le très rare Podospermum purpureum qui n’existerait que dans les Causses et les steppes de Mongolie.

Plus loin Alfonso découvre un pied d’Adonis vernalis fleuri. Nous l’avions cherché en vain l’année dernière.

Après avoir admiré la petite lavogne de Drigas, nous partons à la recherche des messicoles du Causse Méjean. Les beaux champs en jachère l’année dernière étaient, hélas pour nous, cultivés cette année.

Nous avons tout de même trouvé une belle population d’Adonis flammea, quelques Cyanus segetum et de rares Legousia hybrida.

En fin de journée le groupe s’est séparé. Les plus intrépides sont partis au Roc des Hourtous et ont eu la chance de découvrir une station de Cypripedium calceolus dans un lieu particulièrement escarpé.

Les plus sages ont pris la belle route aux lacets particulièrement serrés au-dessus de La Malène et ont pu admirer de magnifiques Campanula Speciosa et quelques plants de Coristospermum lucidum.

 

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La journée débute par une agréable promenade commentée, en petit train, dans les reliefs ruiniformes formés dans les calcaires dolomitiques du Chaos de Montpellier le Vieux.

Des herborisations dans le site et hors du site nous permettent de trouver l’Euphorbia duvalii, l’endémique Ophrys aymoninii, et malheureusement une seule fleur de Legousia speculum-veneris.

Nous explorons ensuite une belle station de Cephalanthera longifolia et damasonium.

Nous terminons la soirée à la La Pouncho d'Agast pour admirer l’aérien viaduc de Millau.
 

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Nous partons en direction du Causse Noir. Il tient son nom de la couleur sombre des forêts de pins qui le recouvraient entièrement autrefois. Beaucoup moins étendu que les Causses voisins, il s'étend toutefois sur  trois départements (Lozère, Aveyron et Gard).

Nous faisons un premier arrêt en bord de route, Michel Hillion désirant nous montrer une rareté géologique : une couche de charbon dans le calcaire.

Un arrêt sur le sentier du Jardin Botanique René Pical nous permet de revoir Aethionema saxatile, un Cornus mas couvert de fruits, des Orchis simia…….

A l’arrêt suivant de magnifiques touffes de Pulsatilla vulgaris var. serotina s’offrent à nous. Nombreux sont ceux qui découvrent une boraginacée jaune Onosma tricerosperma subsp. fastigiata.

Nous nous dirigeons ensuite vers le prieuré, chargé d’histoire, de Saint Jean de Balme.

Nous terminons la journée au Sonac, lieu-dit du petit village de La Cresse . Les Orchis mascula y  abondent.  Les Thapsia nestleri ex Laserpitium nestleri et les Aquilegia vulgaris étaient nombreux au rendez-vous. Nous n’avons hélas pas retrouvé le magnifique Lathyrus vernus.
 

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Nous avions rendez-vous aux Baumes Basses, dans les gorges du Tarn, entre Massegros et la Malène.

Cette première herborisation nous a permis de découvrir deux endémiques caussenardes : l’Aquilegia viscosa fleurie et la Pinguicula longifolia subsp causensis.  

Nous avons également admiré le  Laserpitium siler et l’Atropa belladona en tout début de floraison.

Le Geranium sanguineum, la Veronica teucrium, et l’Aphyllanthes monspeliensis formaient de beaux tapis.

Nous avons eu la chance de trouver un Melittis melissophyllum dans sa forme blanche.

Après un aller et retour par le même chemin, pour éviter le bord de route dangereux, nous avons regagné Millau et rejoint notre hôtel pour un repos bien mérité après une longue journée.
 

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